Cult'Art à St Laurent des Hommes
A partir du mois d'avril, une nouvelle organisation de cette activité va vous être proposée.
Encore un peu de patience...
Nous, avons été accueilli par Monsieur Antoine Grassian, président de l'association "Mémoire du comté de Grignols" pour sauvegarder et faire revivre les sites historiques.
Il nous fait visiter et commente l'histoire de Saint Front de Bruc édifié au moyen âge. Puis agrandie entre 1480 et 1530. Elle comprend une large nef voutée et deux travées. L'ensemble a été rénovée vers 1868. A partir de 1995 l'association finance la restauration du mobilier et l'embellissement de l'édifice.
Direction Grignols site castral original au patrimoine précieux.
Nous faisons le tour du château neuf, résidence des sires de Grignols comte Talleyrand du Périgord. Il est implanté en haut d'une crête rocheuse dominant la vallée du Vern.
Le château domine une vaste esplanade qui était la basse cour aristocratique. Une vingtaine de chevaliers et leurs familles y séjournaient.
Plus bas une autre enceinte existait au moyen âge: Le barri qui était le quartier des habitants non nobles.
Nous retrouvons des vestiges de ces périodes : Murailles, douves sèches, maisons des chevaliers. Vestiges fragiles, voire menacés. Monsieur Grassian et son équipe font revivre le lieu en organisant différentes manifestations : concerts, pièces de théâtre.
Agréable journée culturelle avec un guide passioné et passionnant.
Visite passionnante de deux sites indsutriels situés au nord du département à la limite du Limousin.
Le matin, nous sommes partis à la découverte de la papeterie de Vaux à Payssac. Patrimoine technologique et rural unique en France : ancienne forge du 17 ème siècle reconvertie en usine à papier de paille.
La pâte, à base de paille de seigle est travaillée sur le site de Malherbaux (ancienne forge qui coulait la fonte), après un traitement au lait de chaux vive à Vaux, la pâte passe dans une machine à papier en continu très élaborée pour l'époque : des piles hollandaises broient la pâte sous des cylindres à lames de bronze. Une machine à forme ronde entraîne la pâte sous forme d'une feuille continue. Le papier s'enroule en bobine après avoir séché au dessus de cylindres chauffants alimentés par la vapeur produite pas de vastes chaudières. Le papier fabriqué à Vaux : "papier de boucherie" sans encollage ni colorants servait pour l'emballage alimentaire jusqu'à la fin des années 60. L'usine de Vaux est la dernière en europe à présenter une chaine de fabrication intacte de cette époque. Elle a été fermée en 1968.
Cette visite a été commentée par une artiste pationnée de l'association "la forme du monde". Elle nous a fait découvrir la fabrication du papier à la feuille en matières naturelles sans adjonction de produits chimiques.
Après le pique-nique à Savignac Lédrier, nous avons visité la forge de Savignac Lédrier.
Edifiée en 1521 la forge occupe un fond de vallée de l'Auvézère. Grosse forge à bois, sous l'ancien régime, elle ne tournait qu'en hiver car elle employait une main d'oeuvre paysanne Elle produisait de la fonte et du fer de très bonne qualité à l'aide d'un haut fourneau et d'une affinerie jusqu'en 1930, pour la fabrication des canons.
La famille Combescot propriétaire du domaine a su mobiliser le savoir faire de ses membres pour innover et moderniser l'outil de produstion. Puis il ont construit un atelier de tréfilerie, produisant des pointes longues et des clefs pour ouvrir les boites à sardines jusqu'en 1975.
En dehors de l'aspect purement industriel de ces deux sites l'environnement est particulièrement remarquable.
Autour de Paussac le 12 juin 2021.
Cette sortie s'est déroulée en deux temps:
Les peintres se sont intallés le matin dans l'ancien village des cariers au vieux Breuil. Le Village Troglodytique : ces maisonnettes (12ème et 13ème siècle) sont mi-bâties, mi-troglodytiques c'est à dire qu'elles ont été appuyées sur les parois rocheuses
et un mur de façade a été construit. L'extraction de la roche a permis l'excavation du sous-sol, et donc une certaine facilité pour aménager ces habitations. La toiture était en tuile, une maisonnette a été
en partie restaurée et on peut y apercevoir le plancher, la cheminée.
Elles étaient d'une petite superficie, entre 5 et 25 m²
avec 2 niveaux. Le bas était probablement pour ranger et stocker les outils. Le haut était réservé au carrier. Il y avait une cheminée, dans laquelle il pouvait cuisiner et qui lui assurait son chauffage. Une bâtisse
ressemblerait fort à une chapelle .
Ces hommes ne vivaient pas là. Ils n'occupaient ces maisonnettes que pendant le temps d'effectuer leur
commande de pierre et rejoignaient ensuite leur famille. Inspirés par ces traces anciennes d'activités, ils ont retranscrit ces paysages sur toile et papier dessin toute la matinée et une bonne partie de l'après-midi. Vous
pouvez apprécier leur production ci-dessous.
Les marcheurs sont partis en fin de matinée de Paussac passant par des chemins ombragés bien agéables avec cette chaleur. Nous avons pû découvrir un superbe pigeonnier recouvert en lauze (ce qui est rare) et, plus surprenant, une pierre de sacrifice lors de cette balade. Un sentier traverse lande et taillis jusqu’à une clairière où s’élève la Peyre d’Ermale. C’est un rocher assez haut. Sa forme évoque celle d’un autel. A sa base et sur son plateau, nous remarquons des cupules et des rigoles qui semblent avoir été taillées par l’homme il y a longtemps. Recueillaient-elles le sang d’animaux immolés ? Peur-être… Certains habitants de Paussac ont essayé de comprendre pourquoi des hommes l'ont implanté ici. Ils n'ont pas trouvé d'explications. A l’arrière, une cavité en forme de porte a été creusée. A chacun d'imaginer son pourquoi du comment. Le petit groupe a rejoint les peintres pour le pique nique. Ensuite, les marcheurs requinqués ont refait une boucle pour reprendre les voitures. Les peintres les ont retrouvés et ensemble, en voiture, nous avons été visité le site de Peyrelevade, dolmen dont l'origine dans la région est non expliquée.
de type angoumoisin. Une petite hache en pierre polie de couleur verte, de 8,20
, retrouvée dans le dolmen serait conservée, selon D. Pauvert, dans les collections du
Il s'agit d'un
Merci à Jacques pour nous avoir premis de découvrir ce beau coin du Périgord.
DECOUVERTES PROMENADES
3 ou 4 fois par an. Activité occasionnelle.
Proposition de Mr Jacques Pollard
Objet : faire connaître des circuits de qualité (Chemins, points de vue, patrimoine) dans la zone des vallées du Salembre, de la Beauronne, de la Crempse .
Modalité : covoiturage à maximum 45 minutes du lieu de marche. Boucles ou linéaires de 9 à 14 kms avec soit pique nique tiré du sac soit restaurant.
Fréquence :
Une fois par mois aux beaux jours.
Commentaires
30.09 | 09:25
Le calendrier est disponible sur le site pour chaque atelier.
27.09 | 19:46
Bonsoir, Pour tout renseignement, vous pouvez contacter Irène Rouss...
23.09 | 16:26
Bonsoir, Je souhaiterais m'inscrire à l'atelier encadrement . J'ai de ...
03.09 | 14:36
bonjour le calendrier 2022/2023 est il établi? merci.